« Le blé monte un peu,dans le sillage du marché américain, et ce qui nous aide aussi un peu, c’est la parité monétaire. La baisse de l’euro nous permet de retrouver un tout petit peu de compétitivité », a noté un analyste.

 

« En maïs, le marché est à l’arrêt, on manque de volumes globalement, ce qui explique qu’il y a relativement peu de transactions », a commenté le même analyste.

 

Le maïs « est devenu relativement cher », et parallèlement, « il y a un flux d’importation sur la France, en provenance de la mer Noire, qui permet aux amidonniers de s’assurer leurs volumes sans s’approvisionner dans le marché français », a-t-il ajouté.

 

Le ministère américain de l’Agriculture (USDA) doit livrer vendredi soir son dernier rapport mensuel de l’année sur les récoltes américaines, dont les marchés semblent n’attendre que peu de surprises par rapport aux mois précédents.