« Les transactions sont faibles, depuis le début de cette semaine, on se stabilise au-dessus d’une zone de support », commentait un analyste du cabinet Agritel, qui soulignait que la parité euro/dollar « est là pour donner un peu d’air, mais c’est quand même bien intégré » par les marchés.

 

« En Égypte, le Gasc (autorité d’achat public du blé) est revenu à l’achat pour cette fin d’année afin de sécuriser les stocks du pays », soulignait le cabinet Inter-Courtage, qui faisait état de la vente de 6 bateaux de blé, dont 3 russes, 2 argentins, et 1 roumain.

 

Vers 17h30, la tonne de blé perdait 50 centimes d’euro sur l’échéance de mars à 167,50 €/t, et 25 centimes sur celle de mai à 170 €/t euros, dans un volume d’échanges très faible, inférieur à 9 100 lots.

 

La tonne de maïs, elle, reprenait 1 € sur l’échéance de janvier à 166,75 €/t, et 1,25 € sur celle de mars à 168,75 €/t, dans un volume d’échanges légèrement en dessous des 1 720 lots.