L'organisation syndicale «se félicite que la voie vers une prime unique à l'hectare soit écartée».

«La FNPL, qui a été la première à défendre le recouplage dans les zones fragiles et s'est battue pour une politique de l'élevage rénovée, voit ses demandes aujourd'hui reconnues», estime-t-elle.

Un certain nombre d'options restent à définir et elle «restera vigilante sur la définition de ces éléments techniques dans le cadre des groupes de travail».

L'organisation souligne également «qu'au-delà des aides sectorielles, la capacité d'organisation économique des filières est primordiale pour leur avenir».