Les discussions sur le prolongement du corridor continuent. La Russie a proposé de prolonger l’accord pour 60 jours. « Les opérateurs espéraient une prolongation pour un an », note Agritel.
Mardi 14 mars 2023, la tonne de blé a clôturé à 269,25 euros (+2,25 euros par rapport à la clôture précédente) sur l’échéance de mai et à 265,50 euros sur celle de septembre (+2,50 euros). La tonne de maïs a gagné 2,25 euros sur l’échéance de juin, à 264,75 euros, et 1,50 euro sur celle d’août, à 266 euros.
Demande dynamique à l’international
Agritel relève une demande animée sur la scène internationale, « avec des tenders en blé ces derniers jours de l’Algérie, de la Tunisie et de la Jordanie ». Par ailleurs, la Chine a acheté 612 000 t de maïs aux États-Unis.
Mercredi 15 mars 2023, peu avant 11h00 sur Euronext, la tonne de blé gagnait 1,50 euro sur l’échéance de mai, à 270,75 euros, et 2 euros sur celle de septembre, à 267,50 euros. Celle de maïs gagnait 1,75 euro sur l’échéance de juin, à 266,50 euros, et 2 euros sur celle d’août, à 268 euros.
À Chicago, les prix du blé ont rebondi hier, « notamment à la faveur de rachats de positions shorts détenues par les fonds, explique Agritel. Les opérateurs montrent une certaine impatience concernant les négociations sur l’extension du corridor, négociations qui perdurent. » Selon le cabinet d’analyse, le repli du dollar soutient également les cours dans un contexte de meilleure compétitivité à l’exportation.