La première débroussailleuse Rousseau est sortie des ateliers du fabricant en 1962. Elle est équipée d’un rotor avec une transmission mécanique. Basée près de Lyon, l’entreprise se veut tournée vers l’innovation. C’est ainsi qu’en 1970, le constructeur conçoit sa première épareuse à bras télescopique Castor. Une technologie qu’il continue de développer sur des machines équipées de bras atteignant aujourd’hui 14 mètres, avec la Fulgor.
La technologie embarquée
Après avoir étoffé son catalogue, Rousseau a fait un pas dans l’électronique en 2002 avec la mise en place de la commande APS sur ses machines, pour le confort de conduite. Cette technologie suit le lancement d’un catalogue d’épareuses destiné à un usage agricole. Plus tard en 2010, la gamme Kastor avec son nouveau design est l’occasion de lancer une technique de fabrication avec du cintrage à chaud. En 2015, c’est sur la tête de broyage que le changement se porte avec le premier groupe à rotation à 360°.
Porte-étendard de l’électrification
La dernière série de grosses innovations en date concerne les épareuses à entraînement électrique. Plus silencieuses et économes en carburant, ces versions électrifiées voient le jour en 2017 à commencer par la E-Kastor suivie rapidement par la E-Thenor, puis la E-Fulgor.
À l’occasion de ses 60 ans, la société veut continuer à pousser vers l’innovation et en profite pour dévoiler une nouvelle gamme d’épareuses : la Kondor en version hydraulique avec un réservoir d’à peine 40 l et la version électrique E-Kondor avec un entraînement électrique de nouvelle génération. Cet anniversaire s’accompagne d’une nouvelle identité visuelle avec un nouveau logo et une harmonisation des couleurs des machines sous une teinte jaune « melon ».