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Cette publication découle de la prise en compte de « l’évolution favorable de la situation sanitaire observée dans la faune sauvage française et de l’absence de cas récent dans les zones de provenance des oiseaux migrateurs présents ou circulant sur le territoire national ».
Cet arrêté abroge celui du 5 décembre 2017 qui avait porté le niveau de risque à « élevé ».