, les experts du Giec signalent que « si les tendances sur les émissions des gaz à effet de serre ne changent pas, ces fortes chaleurs pourraient devenir de plus en plus fréquentes ».

 

 

Un tel recensement est donc important pour prévenir et anticiper l’impact de ces phénomènes climatiques qui seront plus courants dans les années à venir. Les données permettront de « comprendre le niveau de sensibilité des différentes espèces à ces événements extrêmes ».