Le 12 octobre 2018, un tweetos a posté sur la plateforme de microblogging la photo d’une affichette. Celle-ci incitait les clients du Bricomarché de Carhaix, dans le Finistère, à faire des stocks de Roundup, dont le principe actif n’est autre que le glyphosate.

Extraordinaire le Bricomarché de Carhaix qui incite à faire des stocks de saloperies avant leur interdiction... pic.twitter.com/fZ2CHHuSq7

— Régis Delanoë (@rdelanoe) 12 octobre 2018 ]]>

En France, son utilisation est déjà interdite aux collectivités dans les espaces ouverts au public depuis le 1er janvier 2017. Elle le sera pour les particuliers à partir du 1er janvier 2019.

Plates excuses

Le tweet est rapidement devenu viral, obligeant le magasin à présenter ses excuses dans la foulée : « Nous avons bien pris en compte le mécontentement de nos clients concernant notre tête de gondole sur les produits phytosanitaires. Nous tenons à nous excuser de notre maladresse. […] Il s’agit d’une erreur humaine et non d’une provocation de notre part, ni [d’une volonté] de faire le buzz. […] Bien entendu, nous avons retiré notre tête de gondole ainsi que l’affiche l’accompagnant. »

 ]]> Avec l’AFP