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Dans le communiqué de l’organisation européenne, Jean-François Isambert, président du groupe de travail sur les céréales, déclare : « Bien que ces premières estimations se situent dans la moyenne quinquennale européenne, il convient de rester extrêmement prudent à ce stade. La vague de chaleur qui a frappé l’Europe n’est toujours pas derrière nous et affecte déjà les céréales de printemps. Nous pouvons aussi craindre l’impact que cela aura sur des cultures tardives telles que le maïs. »