Après un premier trimestre le plus chaud de l’histoire, le premier semestre de l’année 2020 est le plus chaud jamais enregistré en France, relève Météo-France ce mardi 30 juin 2020. En Avec une température moyenne nationale de 12,5 °C, il devance très légèrement le premier semestre de l’année 2007 (12,4 °C). En troisième position, on trouve le premier semestre 2014 (12,1 °C). L’anomalie de température moyenne pour cette première moitié d’année est de +1,8 °C.

Jusqu’à 3,6 °C au-dessus des normales de saison
Les mois de janvier, février et avril ont connu les anomalies de températures mensuelles les plus fortes, comme en 2007 et 2014. Le mois de février a été particulièrement doux avec une anomalie de +3,6 °C, le plaçant au second rang des mois de février les plus doux derrière février 1990. Le mois de juin qui s’est achevé n’a rien de remarquable, avec une température moyenne proche de la normale.

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La palme de l’anomalie la plus forte est décernée à…
C’est sur une grande partie centrale du pays que l’on trouve les anomalies les plus fortes pour ce premier semestre. Orly et Brive, par exemple, ont connu des températures moyennes plus chaudes que la normale de 2,4 °C sur les six premiers mois de l’année. Lyon, Chartres et Tours enregistrent une anomalie de +2,3 °C. Clermont-Ferrand, Poitiers, Laval, une anomalie de +2,2 °C.
…La Corse
La palme revient à Alistro en Corse avec une température moyenne de 15,9 °C et une anomalie de +2,9 °C.

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