Selon Marc Zribi, de FranceAgriMer, le conflit aura un impact significatif sur la sécurité alimentaire de plusieurs pays importateurs. « L’ensemble de la région Maghreb et Moyen-Orient est déjà vulnérable en raison de conditions climatiques très sèches, indique le spécialiste. Ces pays ont des besoins d’importation importants mais les stocks de fin de campagne n’indiquent pas la même vulnérabilité. L’Égypte ou l’Algérie disposent de stocks d’approvisionnement confortables, quand la Tunisie ou l’Afrique subsaharienne risquent de connaître des situations difficiles. »