Outre des facteurs techniques (franchissement de seuils de prix symboliques), « cette culture bénéficie de la forte progression des huiles végétales sur la scène internationale, palme, soja, canola, mais également des perspectives de baisse des surfaces pour la prochaine campagne », a souligné le cabinet Agritel dans une note publiée jeudi. Par ailleurs, l’euro s’est un peu replié face au dollar, soutenant la compétitivité du colza.

 

Vers 17h00 sur Euronext, la tonne de colza reculait de 2,25 euros sur l’échéance de novembre, à 391,00 euros, et de 1,75 euro sur l’échéance de février, à 393,75 euros.