« On est toujours en train de tester la zone de résistance des 412 euros », notait Gautier Le Molgat, analyste chez Agritel, qui notait que le cours avait grimpé de manière significative au début de la séance grâce au pétrole, avant de revenir dans ses niveaux habituels des derniers jours. « Il faudra d’autres éléments que le pétrole pour que le colza continue de monter », en déduisait M. Le Molgat. Les cours du colza et du soja sont très liés à ceux du pétrole, car ils servent à fabriquer des biocarburants.

 

Peu avant la clôture sur Euronext, la tonne de colza gagnait 1 € sur l’échéance de février, à un cours haut de 413 €/t ainsi que sur celle de mai, à 412 €/t également, dans un volume d’échanges de 10 000 lots.