L’échéance de décembre est en effet tirée par des achats de certains intervenants, pour couvrir des opérations avant l’expiration du contrat prévue le 12 décembre. « En fin d’échéance, c’est à celui qui va craquer le plus tard possible, celui qui va attendre le dernier moment », de l’acheteur ou du vendeur, ce qui alimente la volatilité des cours, commentait un analyste du cabinet Inter-Courtage.

 

« Sur Euronext, seule l’échéance décembre en blé affichait une hausse significative, mais dans un contexte étroit à quelques jours de sa clôture », notait de son côté le cabinet Agritel. Sur l’échéance de mars, en revanche, les cours étaient malmenés par les dernières annonces de récolte, « au Canada, mieux que prévu et en Australie, beaucoup mieux que prévu », selon l’analyste d’Inter-Courtage.

 

Vers 17h00, la tonne de blé gagnait 3,25 euros sur décembre à 162,75 euros et 25 centimes d’euro sur mars à 163,25 euros.

 

La tonne de maïs regagnait 75 centimes d’euro sur janvier à 163,75 euros et 25 centimes sur mars à 164 euros.