« On est dans un marché qui ne bouge pas », commentait un analyste du cabinet Agritel, qui indiquait surveiller, au niveau international, « la météo en Australie, où le climat est humide, à quatre semaines de la moisson et l’avancée de la récolte en Amérique du Nord où, là aussi, le climat est très humide ».

 

« En Égypte, le Gasc (autorité d’achat public du blé) est de retour à l’achat pour la période du 1er au 10 novembre. Il va être intéressant de voir si d’autres origines que la Russie sont prêtes à faire une offre », notait le cabinet Inter-Courtage à propos du premier importateur de blé au monde.

 

Peu avant la clôture, sur Euronext, le blé gagnait 25 centimes à 160,25 €/t sur le contrat de décembre, et 25 centimes également sur le contrat de mars à 166,25 €/t, pour 18 000 lots échangés en tout.

 

Le maïs, quant à lui, gagnait 75 centimes sur le contrat de novembre à 160,75 €/t, et 50 centimes sur celui de janvier à 164,50 €/t avec 3 000 lots échangés.