Les transactions sont fluides, avec des tarifs haussiers en prim’holsteins et normands. Les montbéliards restent recherchés face au recul saisonnier de l’offre, mais les prix semblent se stabiliser. L’activité commerciale est plus ferme pour les bons croisés laitiers ou blancs bleus, avec des prix qui tendent à progresser faute d’offre suffisante. Les tarifs restent également attractifs pour les bons charolais ou croisés. En limousins, l’offre est suffisante avec des prix stables. En veaux de boucherie, les ventes de la Pentecôte ont été décevantes. Le retour de la chaleur est néfaste à la consommation. Les importations néerlandaises continuent de déstabiliser le marché intérieur, avec des prix qui restent très bas.
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