Le blé reste ferme, soutenu par la demande. « La Chine demeure le principal facteur expliquant la hausse des cours de ces dernières semaines », souligne Agritel dans une note.

La météo est pour l’heure avantageuse à l’égard de l’offre européenne. « Alors que les surfaces de blé d’hiver vont probablement progresser sensiblement en Europe, en Russie et aux États-Unis, elles vont être en repli par rapport à l’an passé en Ukraine, selon notre bureau de Kiev, conséquence des conditions sèches de ces dernières semaines ayant impacté les semis », estime le cabinet.