La semaine dernière, les prix de l’orge étaient en baisse, au regard du contexte sanitaire actuel ainsi qu’à l’image des autres matières premières agricoles. De quoi amener à plusieurs appels d’offres, en particulier de la Tunisie (100 000 tonnes) et de la Jordanie (60 000 tonnes).

« Ces derniers mois, l’orge française a été peu compétitive sur les marchés internationaux comme l’Afrique du Nord ou encore le Moyen-Orient », a relevé le cabinet Tallage : elle « doit, donc, gagner en agressivité » sur ces deux marchés.

Un regain de compétitivité a déjà été amorcé et « devrait se poursuivre en deuxième moitié de campagne face à l’arrivée de la concurrence des orges de l’hémisphère sud dans les ports ».