Les blés sont sous pression de l’appréciation de l’euro face au dollar, à des niveaux qu’il n’avait pas atteint depuis quatre mois. Cela fait suite aux discussions sur le plan de relance de l’Union européenne. « Cette fermeté de la devise demeure un facteur pénalisant de l’activité export et a contrario peut motiver certains flux d’importation », a souligné le cabinet Agritel.

Lors d’un entretien avec l’AFP, Éric Thirouin, président de l’AGPB, a jugé « optimistes » les premières projections de production de blé tendre du ministère de l’Agriculture (31,3 Mt).