L’offre et la demande sont à la baisse, permettant un certain équilibre commercial. Les tarifs se maintiennent pour les bonnes femelles blondes d’Aquitaine, parthenaises, aubracs, limousines ou charolaises de qualité bouchère. La demande est plus réservée pour les animaux croisés de choix secondaire.
En réformes laitières, la valorisation des prim’holsteins, normandes ou encore montbéliardes continue sa lente progression. La demande est plus réservée pour les taureaux.
En jeunes bovins, les tarifs se redressent légèrement en Italie, mais la situation ne s’améliore toujours pas en France. Les engraisseurs sont pénalisés par l’accroissement des coûts de production.