Au 1er juin 2019, les niveaux des nappes souterraines sont inférieurs à ceux de l’année précédente. C’est le constat partagé le 18 juin par Laurence Gourcy, du BRGM (1). Ainsi, les nappes des alluvions du sud de l’Alsace, de Bourgogne, du Rhône amont et la nappe des calcaires du Berry présentent des niveaux parfois proches des minima enregistrés pour un mois de mai. Ces secteurs n’ont pas bénéficié de recharge pendant la période hivernale, du fait des pluies faibles et parfois tardives durant l’automne et l’hiver. La situation est toutefois plus favorable qu’au 1er juin 2017. I. Escoffier

(1) Bureau de recherches géologiques et minières.