Ces fermes sont des supports à la réinsertion sociale. Elles accueillent aussi des personnes du milieu carcéral. En 2017, 500 individus accomplissant des travaux d’intérêt géneral y ont réalisé 16 000 heures de TIG. Comme Rayhan (en photo), vingt ans, qui a effectué sa sanction pénale de substitution à l’emprisonnement et n’est plus reparti. Il a repris goût à la vie en groupe et se sent utile autant à la bergerie qu’à l’accueil des visiteurs. Les Fermiers de la Francilienne emploient des salariés, des jeunes en service civique et accueillent de nombreux bénévoles.

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