Pour protéger les semis et enrayer les dégâts, qui se sont chiffrés dans le département à 560 000 € en 2019, et limiter les nuisances dans les bourgs, le préfet a autorisé le prélèvement de cinq cents choucas des tours en 2020. Cette décision concerne trente-deux communes du nord-ouest de l’Anjou. « 10 % des oiseaux qui seront tirés ou piégés en avril, mai et juin vont être autopsiés, et le contenu de leur jabot sera analysé », précise Antonin Fremy, animateur de la FDGedon. Des données sur le sexe et l’âge pourraient également être recueillies.