En lien avec la crise du Covid-19, l’interprofession française du lin (Cipalin) estimait, le 7 mai, qu’il faudra diviser par deux ou trois les emblavements en 2021. Malgré le redémarrage de l’activité des teillages à environ 30 % de leur charge habituelle, les effets de la crise dans le secteur devraient se faire sentir de façon très durable. « Les besoins de stockage dans les exploitations agricoles et en teillage seront inédits et très importants », alerte le Cipalin. L’interprofesssion anticipe que les stocks qui seront engrangés en 2020 pèseront sur le marché au moins jusqu’en 2022.