Il y a deux ans, un agriculteur de Meung-sur-Loire trouvait une de ses parcelles envahie de milliers de petits morceaux de plastique et de verre. Un « compost urbain », épandu dans les années 1980, avait ressurgi après des pluies abondantes. Depuis, il cherche une solution pour supprimer les détritus, enfouis sur 30 cm, et pouvoir à nouveau exploiter le 1,8 hectare qu’il loue. Des analyses de terre ont été réalisées et une tamiseuse de plage a été passée, en vain. Le dossier est dans les mains de la préfecture. D’autres parcelles au sud d’Orléans sont touchées.