Afin de répondre à la demande de restaurateurs prêts à payer un peu plus cher pour des pommes de terre locales, des éleveurs de l’Aubrac se lancent dans cette production. Après des tests positifs en 2018, ils sont douze à avoir franchi le pas en 2019. La chambre d’agriculture assure l’accompagnement.
Le cahier des charges retient trois variétés, la marabel, la mona lisa et l’agata, limite les intrants et proscrit l’irrigation.
À plus de 1 000 m d’altitude, l’objectif de rendement est de 15 t/ha. En plus des restaurateurs, la micro-filière compte fournir les cantines et les supermarchés locaux.