« Nous savons aujourd’hui que les critères bactériologiques pour le lait cru sont meilleurs lorsque la production est plus extensive, en dessous de 6 500 l/an/ha de SFP », a avancé Charles de Paris, président de l’OP Gillot, le 4 avril. Ainsi, pour la gestion des attributions de volumes, l’OP prend en compte, entre autres, le facteur d’extensification. « Notre rôle est de minimiser les destructions liées aux non-conformités bactériennes en lait cru », a complété le président.