« Inutile de préciser que » la hausse de l’euro « n’aide pas à notre compétitivité à l’exportation, déjà bien mise à mal par la compétition des blés argentins, notamment sur nos marchés dits traditionnels », a indiqué le cabinet Agritel dans une note.

 

Les conditions de culture bonnes à très bonnes du blé tendre sont stables, à 84 % au 12 février, contre 92 % des cas en 2017 à la même date, selon le dernier bulletin Céré’Obs de FranceAgriMer publié vendredi. 92 % sont au stade du début du tallage, contre 82 % en 2017.

 

À la clôture sur Euronext, la tonne de blé reculait de 0,50 € sur l’échéance de mars, à 159,75 €, et restait stable sur celle de mai, à 161,50 €.

 

La tonne de maïs gagnait 0,25 € sur l’échéance de mars à 154 € et était stable sur celle de juin à 160,25 €.

 

Sur le marché physique, les prix des blés et des orges ont de nouveau nettement grimpé cette semaine.