Les membres de l’association précisent dans leur communiqué que la biodiversité est « centrale » pour eux. Ils indiquent que le rôle des systèmes agricoles, tels que le pastoralisme, a souvent été reconnu par les scientifiques. « Or, on rejette tout cela à la poubelle, indiquent-ils. Au lieu de placer au centre la richesse et la complexité de cette biodiversité, on se focalise sur une seule espèce présentée comme emblématique, ce qui est une stupide réduction de la réalité. »

La deuxième raison pour laquelle ils ne veulent pas participer à cette consultation publique est « parce qu’elle est purement formelle. Nous refusons de participer à ce qui est de la poudre aux yeux. » Ils promettent aussi de continuer, « avec toutes les organisations, élus, instances territoriales avec qui nous sommes en contact, à travailler pour une réelle prise en compte dans toute sa complexité de la réalité d’un massif à laquelle, nous sommes intimement attachés. »