Samedi, le lin a de l’avance
Dimanche, les dégâts de la tordeuse des céréalesUne première... le
d'hiver sera arraché au mois de mai ! Normalement, on invite les copains pour le voir en fleur à cette date !
Mûr avec plein de capsules et sans avoir versé... verdict dans quelques mois après le rouissage
— Nadège PETIT (@agri_zoom)
Dimanche, arrivée des doryphoresÀ première vue d'œil vous me direz , foyers de piétin échaudage et vous aurez en partie raison ! Mais quel est le vrai symptôme de cet épis dont le feuillage semble indemne ?
En cette année atypiqueetait bien présente !! Épis fréquents!
— Pierre-Alexis Marre (@PierreA_Marre)
charset="utf-8">Lundi, rien ne va plusAmis
préparez vos bénévoles, il va y avoir du boulot à tous les ramasser à la main...
(Œufs de doryphores)
Sinon y a des produits phyto...même le
— Trubuil Bot (@BotTrubuil)
Lundi encore, top départ pour l’andainageVoilà notre mélange Avoine Printemps et pois fourragés ce 1er juin. Aucune espèce ne va ce printemps. La graminée a les feuilles jaunies suite au gel d'avril et stress hydrique comme les orges. Le pois est rachitique comme lentilles, luzernes ce printemps. Pas de nodosités.
— Lespagnol Arnaud (@LespagnolArnaud)
Mardi, quand l’eau se fait attendreDemarrage de l andainage des colzas semences
dans 8 jours place à la MB.
— Thomas Boissinot (@ThomasBoissino1)
Mardi aussi, régulation des mulotsPas le choix on repasse en ration hivernale
— Sébastien Heurbize (@SHeurbize)
Mercredi, attention aux carences de boreParcelle de
18ha trente
. Il ne fait pas bon à s’appeler
— coiffard (@coiffardph)
Mercredi de nouveau, bientôt le départ en estiveCe matin, apport foliaire de bore sur
La betterave est très sensible aux carences en cet oligo-élément pouvant donner la "maladie du cœur noir"
Apport d'autant plus important que le sec accentue le risque de carence.
— ChristopheB. (@agritof80)
Jeudi, entretien des bordures de champsLa chaleur arrive encore quelques jours à tenir pour les
avant le départ en estive dans le
!!
— le Berger des étoiles (@romainleberger)
Jeudi encore, la pression parasitaire du momentEn mode entretien des chemins communaux
Un geste pour ne pas disséminer les graines dans les champs,éviter les tiquespour les promeneurs
— LE POGAM GUILLAUME (@LePogamGuillaum)
Vendredi, déménagement bovinPucerons des épis dans les
! Grosse pression cette année !
— Nicolas Gruselle (@Nicolasgru55)
Vendredi toujours, une culture peut en cacher une autreCe matin changement de paddock!
naturelles.
— Gilles B. (@gillou1784)
Semis de maïs derrière seigle ensilé avec focus et maestro horsch incorpo de l’engrais belle levée
— Vieillart (@Vieillart2)
Le Sénat et l’Assemblée nationale ont validé, en commission mixte paritaire le 29 mai, la prolongation de 14 mois de l’expérimentation sur le relèvement du seuil de revente à perte (SRP) et l’encadrement des promotions mis en place par la loi portant sur l’alimentation.
Du temps perdu à cause du coronavirus
L’article devait initialement être pris dans le cadre de la loi Asap (accélération et simplification de l’action publique) dont l’examen a été reporté pour cause de Covid-19. Il a finalement été voté dans le cadre d’un projet de loi relatif à diverses dispositions liées à la crise sanitaire, à d’autres mesures urgentes ainsi qu’au retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne.
Le texte prévoit également que les règles d’encadrement des promotions puissent être assouplies notamment pour les produits à fort caractère saisonnier.
> À lire aussi :Relations commerciales, le Sénat vote le prolongement de l’expérimentation (10/03/2020)
Un dispositif fragilisé
La FNSEA et JA estiment que les assouplissements consentis « fragilisent le dispositif » mis en place par la loi sur l’alimentation. Les deux syndicats considèrent que c’est sur la durée que « nous pourrons véritablement percevoir si ce dispositif est efficace ». Ils ajoutent que les possibilités offertes pour déroger à l’encadrement des promotions sur les produits à forte saisonnalité « sont beaucoup trop larges ».
« Il est indispensable de prolonger l’ordonnance en l’état, pour une durée de 30 mois, et sans en affaiblir les dispositifs », clament les deux syndicats, qui rappellent que le texte initialement déposé par le gouvernement prévoyait la possibilité de prolonger les dispositifs de 30 mois.
La Fédération nationale des producteurs de lait (FNPL), « totalement en phase » avec la FNSEA et les JA, ajoute que lors de son assemblée générale, le 12 mars dernier, le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, avait porté le souhait du gouvernement de prolonger de 30 mois l’expérimentation. Cette durée de 30 mois est « absolument nécessaire » pour ancrer définitivement ces dispositifs dans les pratiques, rapporte la FNPL.
Déroger à l’encadrement des promotions, « c’est permettre aux filières de l’aval de remettre une pression supplémentaire sur les prix payés aux paysans par des promotions permanentes et excessives. Nous avons besoin de temps » pour consolider le travail qui a été initié sur la construction du prix, conclut la FNPL.