Reportage Sima
Hydrokit, de l’usine à l’exploitation agricole
Le spécialiste vendéen de l’hydraulique se diversifie et teste ses prototypes à la ferme.
Né en 1983, le groupe de la famille Audureau a installé son siège au Poiré-sur-Vie, en Vendée. Hydrokit emploie 200 personnes dans le monde dont 125 sur ce site vendéen. Une grande partie des salariés (commerce, communication, marketing, etc.) travaille sur le plateau en « open space » qui figure sur cette photo.
Autre service, autre ambiance. Nous sommes ici dans une partie du bureau d’études d’Hydrokit. On a d’ailleurs déjà vu sur des salons la bête mécanique qui est derrière la vitre…
L’électronique fait partie intégrante des projets étudiés en R&D chez Hydrokit. Ici, un écran pour épandeur Sodimac.
Le nouveau compresseur pour télégonflage est testé sur ce banc, dans une autre partie du service R&D d’Hydrokit.
Un double compresseur pour télégonflage est même à l’étude. L’objectif de la PME est de le présenter sur son stand lors du Sima 2017.
Hydrokit développe également des radiocommandes. Ici au premier plan, un modèle pour une chargeuse Caterpillar.
Ah ! Un engin qui n’a travaillé que quelques heures en aciérie est justement garé sur le parking de l’usine !
Croisé au hasard de la visite des locaux et des ateliers, ce tractopelle MST.
D’atelier, justement, il est question ici. Les salariés réparent pompes et pistons. Ils ont pour cela à leur disposition une pompe hydraulique pouvant simuler une pression allant jusqu’à 450 bars. Un moteur thermique de 420 ch situé à l’extérieur alimente ce banc d’essais.
Non loin de la zone réservée aux expéditions et ici, en arrière-plan, des connectiques, des pompes prêtes sont stockées sur palettes. Jusqu’à 5 000 envois sont réalisés chaque mois, soit environ 300 palettes. L’objectif d’Hydrokit est de livrer le jour même une commande réalisée avant 16 heures. Chaque année, plus de 1 500 pompes à engrenage sont par exemple fabriquées.
Hydrokit travaille avec 550 fournisseurs. Plus de 17 000 pièces sont référencées.
C’est ici la zone de réception des pièces et références. C’est aussi à cet endroit qu’arrivent les montages réalisés au centre pénitentiaire de Nantes. Quinze détenus y confectionnent flexibles et connectiques depuis 20 ans. Grâce à cette expérience, Hydrokit est devenue centre de formation sur d’autres ateliers pénitentiaires.
Le kit compresseur de télégonflage est confié par Jean-Jacques Morin, du bureau d’études d’Hydrokit (à droite), à José Godineau, agriculteur pionnier du télégonflage.
Prototype de compresseur Hydrokit sur benne à trois essieux Gyrax dans la ferme de José Godineau.
L’ensemble des matériels de José Godineau est pourvu de télégonflage. L’une des dernières préséries du compresseur d’Hydrokit est installée ici sur l’épandeur Bergmann TSW 6240 S.
Né en 1983, le groupe de la famille Audureau a installé son siège au Poiré-sur-Vie, en Vendée. Hydrokit emploie 200 personnes dans le monde dont 125 sur ce site vendéen. Une grande partie des salariés (commerce, communication, marketing, etc.) travaille sur le plateau en « open space » qui figure sur cette photo.
Autre service, autre ambiance. Nous sommes ici dans une partie du bureau d’études d’Hydrokit. On a d’ailleurs déjà vu sur des salons la bête mécanique qui est derrière la vitre…
L’électronique fait partie intégrante des projets étudiés en R&D chez Hydrokit. Ici, un écran pour épandeur Sodimac.
Le nouveau compresseur pour télégonflage est testé sur ce banc, dans une autre partie du service R&D d’Hydrokit.
Un double compresseur pour télégonflage est même à l’étude. L’objectif de la PME est de le présenter sur son stand lors du Sima 2017.
Hydrokit développe également des radiocommandes. Ici au premier plan, un modèle pour une chargeuse Caterpillar.
Ah ! Un engin qui n’a travaillé que quelques heures en aciérie est justement garé sur le parking de l’usine !
Croisé au hasard de la visite des locaux et des ateliers, ce tractopelle MST.
D’atelier, justement, il est question ici. Les salariés réparent pompes et pistons. Ils ont pour cela à leur disposition une pompe hydraulique pouvant simuler une pression allant jusqu’à 450 bars. Un moteur thermique de 420 ch situé à l’extérieur alimente ce banc d’essais.
Non loin de la zone réservée aux expéditions et ici, en arrière-plan, des connectiques, des pompes prêtes sont stockées sur palettes. Jusqu’à 5 000 envois sont réalisés chaque mois, soit environ 300 palettes. L’objectif d’Hydrokit est de livrer le jour même une commande réalisée avant 16 heures. Chaque année, plus de 1 500 pompes à engrenage sont par exemple fabriquées.
Hydrokit travaille avec 550 fournisseurs. Plus de 17 000 pièces sont référencées.
C’est ici la zone de réception des pièces et références. C’est aussi à cet endroit qu’arrivent les montages réalisés au centre pénitentiaire de Nantes. Quinze détenus y confectionnent flexibles et connectiques depuis 20 ans. Grâce à cette expérience, Hydrokit est devenue centre de formation sur d’autres ateliers pénitentiaires.
Le kit compresseur de télégonflage est confié par Jean-Jacques Morin, du bureau d’études d’Hydrokit (à droite), à José Godineau, agriculteur pionnier du télégonflage.
Prototype de compresseur Hydrokit sur benne à trois essieux Gyrax dans la ferme de José Godineau.
L’ensemble des matériels de José Godineau est pourvu de télégonflage. L’une des dernières préséries du compresseur d’Hydrokit est installée ici sur l’épandeur Bergmann TSW 6240 S.