La pression fiscale qui s’exerce sur les propriétés non bâties freine considérablement leur rentabilité. Les fermages encaissés sont imposés à l’impôt sur le revenu et à la CSG. Le propriétaire est en plus redevable de la taxe foncière. Alors qu’une « grande » réforme du foncier est en cours de discussion, certaines voix s’élèvent pour une refonte profonde de sa fiscalité.