Les sorties sont modestes face à la profusion d’herbe. L’activité à l’exportation reprend avec le retour sur les marchés de l’ensemble des opérateurs. La demande italienne reste cependant mesurée, avec les travaux d’ensilage de maïs qui ont commencé dans certaines régions.

 

Les transactions sont assez fluides dans le centre de la France, avec des tarifs qui retrouvent des niveaux de prix plus corrects pour les éleveurs. Les broutards ou les taurillons charolais U de 350-450 kg sont négociés entre 2,55 à 2,70 €/kg vif sur Moulins-Engilbert et Saint-Christophe-en-Brionnais. La tendance est également positive pour les limousins, sur le cadran d’Ussel, avec des broutards U de 350-400 kg qui partent à 2,86 €/kg de moyenne.

 

En femelles, la modestie de l’offre est favorable aux échanges avec des tarifs qui restent soutenus. Les bonnes charolaises de 300-350 kg se vendent entre 2,80 et 2,85 €/kg à Moulins-Engilbert alors que les mêmes non vaccinés se négocient entre 2,60 et 2,70 €/kg à Châteaubriant.

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