« Même si l’actualité nous rappelle que le blé français est demandé, il ne s’agit pas de relâcher nos efforts sur la qualité », déclarait Philippe Heusele, président du comité international d’Intercéréales, le 17 mai dernier.
Si la météo est un facteur d’incertitude au champ, plusieurs leviers techniques sont mobilisables pour mettre toutes les chances de son côté.
L’interprofession travaille activement à l’amélioration de l’adéquation entre l’offre française et la demande des différents marchés que sert la France, sur le marché intérieur ou à l’international. Lancé il y a plusieurs années déjà, le plan protéines porte aussi ses fruits.