Bien que le coeur du marché reste sur des machines à six rangs, de plus en plus de constructeurs proposent des automotrices et des chantiers décomposés de huit, neuf ou douze rangs. En parallèle, le poids des machines augmente, les constructeurs redoublent donc d'ingéniosité pour en limiter l'impact. Marche en crabe, écartement des voies, roues centrales, taille des pneumatiques... à chacun sa technique pour conserver la structure du sol. La puissance des moteurs a également été poussée, avec une répercussion négative sur la consommation de carburant. En contrepartie, les chantiers de betteraves sont de plus en plus autonomes et peuvent même fonctionner en solo. Dans le même temps, les constructeurs proposent toujours des automotrices classiques, qui possèdent encore une bonne part de marché en France, et des chantiers décomposés.
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