Pour les animaux, la seule nouveauté concerne l’aide ovine pour laquelle il était de nouveau possible de demander, avant le 31 janvier 2019, l’aide complémentaire pour les exploitants agricoles qui ont commencé une activité d’élevage ovin entre le 1er février 2016 et le 31 janvier 2019.

L’aide relative aux légumineuses fourragères n’est plus limitée aux trois premières années de la culture. Comme l’an dernier, seules les légumineuses pures, en mélange entre elles ou avec d’autres espèces de céréales ou les oléagineux sont éligibles.

Avant le 15 mai

N’oubliez pas de demander l’aide aux bovins allaitants (ABA), aux bovins laitiers (ABL) et celle aux veaux sous la mère et aux veaux bio (VSLM), avant le 15 mai, sur Telepac. Pour l’ABA et l’ABL, la période de détention obligatoire des animaux, qui est de six mois, débute le lendemain du dépôt de la déclaration.

L’aide VSLM est estimée à 49 € et à 69 € pour les bêtes labellisées ou bio, vendues par une organisation de producteurs. L’aide ovine est de 21 € par brebis (dont une majoration pour les cinq cents premières), plus 6 € pour les nouveaux producteurs. L’aide caprine est évaluée à 16 € par chèvre, pour un maximum de quatre cents animaux. L’aide aux bovins allaitants est de 165 € de la première à la cinquantième vache, 120 € de la cinquante et unième à la quatre-vingt-dix-neuvième, 61 € de la centième à la cent trente-neuvième. L’aide aux bovins laitiers est estimée à 77 € par vache en zone de montagne (trente animaux maximum) et à 38 € par vache hors zone de montagne (quarante animaux maximum).

La transparence Gaec s’applique sur les plafonds pour chaque aide.

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