Devant l’augmentation de la prédation, « occasionnant d’importants dommages économiques » au sein des élevages de l’Union européenne, Éric Andrieu demande à la Commission si elle « envisage enfin de réviser la convention de Berne ».
L’élu souhaite le déclassement du loup du statut « d’espèce strictement protégée » à celui « d’espèce protégée » pour « permettre une gestion équilibrée de ces populations. » Il s’appuie sur « les derniers recensements de l’espèce » qui indiquent une forte expansion du prédateur, non seulement dans les zones de montagne mais aussi dans les zones de plaine.
Éric Andrieu rappelle le sentiment d’impuissance qu’ont les éleveurs et questionne la Commission européenne sur la stratégie qu’elle envisage de mettre en œuvre pour « juguler le phénomène et venir en aide aux producteurs ».
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