Si la CNDSF se félicite de la hausse continue d’utilisation de semences fermières par les agriculteurs, elle dénonce l’organisation de l’interprofession dont elle est exclue.
« En blé tendre, le taux d’utilisation de semences fermières est passé de 54 % en 2016 à 60 % en 2017, annonce Philippe Ribault, président de la CNDSF (1), lors du Salon de l’agriculture ce mardi 27 février 2018, après enquête auprès de trieurs à façon et d’agriculteurs. La tendance haussière s’explique par un contexte économique des exploitations de plus en...
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Article à faire lire à tous les anti tout qui racontent sur les plateaux TV que les agri sont "obligés" d'acheter des semences. Cela confirme que suivant les années entre 50 et 60 % des semences de la 1ère culture sont faites par les agri eux mêmes. Bien sur ce ne sont pas des "semences paysannes" mises en avant par ces promoteurs de la décroissance. Mais les vrai paysans ils ont compris l'intérêt d'avoir d'un côté l'accès au progrès des semenciers en achetant un peu de semences (et en payant une petite royalties) et de l'autre de faire directement chez soit, sans frais d'intermédiaires et transport, la semence que l'on utilise pour ses semis. Mais cela reste encore à expliquer aux journalistes nationaux qui n'écoutent que les promoteurs de la décroissance. Et il faut souligner que le système n'empêche pas celui qui veut faire des "semences paysannes" a sa façon de le faire et de multiplier ses propres semences.
Il faudrait transformer le GNIS en GNISC en ajoutant le "C" de "certifiées" au bout. Nous semons autant de semences fermières que de semences certifiées. C'est comme l'école publique et l'école privée ou encore l'allopathie et l'homéopathie : les 2 formes doivent coexister librement !
ou est la grande FNSEA ? quelle est sa position ?
Article à faire lire à tous les anti tout qui racontent sur les plateaux TV que les agri sont "obligés" d'acheter des semences. Cela confirme que suivant les années entre 50 et 60 % des semences de la 1ère culture sont faites par les agri eux mêmes.
Bien sur ce ne sont pas des "semences paysannes" mises en avant par ces promoteurs de la décroissance. Mais les vrai paysans ils ont compris l'intérêt d'avoir d'un côté l'accès au progrès des semenciers en achetant un peu de semences (et en payant une petite royalties) et de l'autre de faire directement chez soit, sans frais d'intermédiaires et transport, la semence que l'on utilise pour ses semis. Mais cela reste encore à expliquer aux journalistes nationaux qui n'écoutent que les promoteurs de la décroissance.
Et il faut souligner que le système n'empêche pas celui qui veut faire des "semences paysannes" a sa façon de le faire et de multiplier ses propres semences.
Normal , le GNIS veut que la CNDSF disparaisse totalement pour régner en maître absolu et incontestable ..................
Il faudrait transformer le GNIS en GNISC en ajoutant le "C" de "certifiées" au bout.
Nous semons autant de semences fermières que de semences certifiées. C'est comme l'école publique et l'école privée ou encore l'allopathie et l'homéopathie : les 2 formes doivent coexister librement !