Avec un jour ouvré supplémentaire par rapport à 2018, la production d’aliments composés a augmenté de 3,9 % en avril 2019, pour atteindre 1,628 million de tonnes.
« Après des résultats médiocres sur le premier trimestre, la production [destinée aux porcins] reprend (+6,1 %), poussée essentiellement par la catégorie « porcs engraissement » (+7,1 %) », calculent Coop de France nutrition animale et le Snia dans leur note publiée le 17 juin 2019.
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« Après des résultats médiocres sur le premier trimestre, la production [destinée aux porcins] reprend (+6,1 %), poussée essentiellement par la catégorie « porcs engraissement » (+7,1 %) », calculent Coop de France nutrition animale et le Snia dans leur note publiée le 17 juin 2019.
Dans le secteur de la volaille aussi, les volumes fabriqués progressent. Globalement, ils augmentent de 2,8 %, grâce aux aliments destinés aux poulets (+2,9 %), aux pondeuses (+2,4 %) et aux palmipèdes (+5,1 %).
En bovin aussi, la hausse est de mise : +1,7 % ; grâce à la catégorie « autres bovins » (+4,1 %). Fait marquant en aliments lapins, on observe un maintien proche de l’équilibre (–0,2 %) après plusieurs mois de forte baisse.
Un début d’année difficile
Sur les quatre premiers mois de 2019, l’activité enregistre des débuts difficiles (–0,1 %). Les fabrications pour bovins sont en hausse (+1,4 %). La baisse en volailles sur le premier trimestre s’atténue (–2,6 %) avec néanmoins des reculs prononcés en poulets et en dindes. » En porcs, la production est légèrement positive (+0,1 %) en partie grâce à la hausse constatée sur avril.
Sur les dix premiers de la campagne de 2018-2019, la production d’aliments composés est à l’équilibre. Les fabrications pour bovins progressent de 3,2 %. Celles pour porcs et volailles reculent de 1,6 %. Les volumes de mash bondissent de 9,2 %. Ceux d’aliments pour ovins et caprins enregistrent une hausse de 3,8 %. Ceux pour lapins chutent de 8,8 %.